Saviez-vous que vous pouvez reporter une année de cotisation au CELIAPP?
Si vous ouvrez un CELIAPP en 2023 et que vous ne cotisez pas dedans, vous aurez droit de cotiser 16 000$ en 2024. Notez que si vous ne cotisez pas en 2023 et 2024, votre maximum en 2025 sera de seulement 16 000$.
Voici la formule permettant de calculer le montant de report de CELIAPP :
[Total des droits de cotisation de l’année précédente] – [Cotisations de l’année précédente] = report disponible pour un maximum de 8 000 $.
Depuis le début octobre, nous prenons le temps de contacter les clients qui sont éligibles au CELIAPP pour au moins ouvrir leur compte et reporter leur année de cotisation. Si vous connaissez des gens qui pourraient être intéressé par le CELIAPP, n’hésitez pas à leur dire de communiquer avec nous.
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Vous avez jusqu’au 30 novembre 2023 17h00 pour participer via le lien suivant : https://go.fidelity.ca/concours-REER.html
Bonne chance.
Le mois d’octobre aura été marqué par un nouveau conflit armé entre Israël et le Hamas créant une incertitude sur les marchés et une grande variation dans le prix du pétrole. La crainte d’un embrassement dans toute la région et le jeu géopolitique devrait continuer à créer une forte volatilité sur le cours du pétrole jusqu’à la fin de l’année.
Alors que les résultats d’entreprises généralement positifs et des chiffres de chômage toujours très bas laissé voir une hausse de taux supplémentaire, aussi bien le Canada, les États-Unis et l’Europe ont appliqué le statuquo. Le discours plus conciliant de la FED aura permis d’avoir un très fort rebond des marchés durant la dernière semaine du mois, en faisant la meilleure semaine de l’année. Il va rester à voir si cet élan va continuer en novembre ou pas.
Aux États-Unis, l’indice S&P 500 a enregistré sa plus forte progression hebdomadaire depuis près d’un an. Les signes d’un ralentissement de l’économie et une réunion plutôt dovish du FOMC ont entraîné une forte baisse des rendements obligataires à long terme. Les gains ont été généralisés et menés par l’indice Russell 2000 des petites capitalisations, qui a enregistré sa meilleure progression hebdomadaire depuis octobre 2022.
Mercredi, la Fed a laissé ses taux inchangés, comme prévu, mais les investisseurs ont semblé encouragés par le communiqué publié à l’issue de la réunion, qui indiquait que la récente hausse des taux des bons du Trésor à long terme avait permis de réaliser une partie du resserrement des conditions financières envisagé par les décideurs politiques.
Le rapport de vendredi sur l’emploi aux États-Unis a semblé confirmer que le marché du travail se refroidissait. Les employeurs ont créé 150 000 emplois en octobre, un chiffre inférieur aux attentes et le plus bas niveau depuis juin, et la forte hausse de septembre a été revue à la baisse. Par ailleurs, le taux de chômage a atteint 3,9 %, son niveau le plus élevé depuis janvier 2022.
Le taux du Trésor américain à 10 ans a chuté de 4,88 % à un niveau intrajournalier d’environ 4,48 % vendredi, son niveau le plus bas depuis fin septembre.
Les bénéfices des plus grandes entreprises américaines sont sur le point d’afficher leur première augmentation depuis un an, grâce notamment à la vigueur des dépenses de consommation cet été.
Les membres de l’indice S&P 500 sont en voie d’enregistrer collectivement une hausse de 3,7 % de leurs bénéfices pour le troisième trimestre de l’année, soit la première augmentation de ce type depuis le troisième trimestre de l’année précédente. Selon FactSet, le chiffre d’affaires devrait augmenter de 2,3 % par rapport à l’année précédente.
En date du 31 octobre, quelle est l’importance des « Magnificent Seven » pour l’ensemble du marché boursier américain?
L’ensemble du S&P 500 : +9,23%
Le S&P 493 (sans le Magnificent Seven) : -2,05%
Uniquement le Magnificent Seven, pondéré par la capitalisation boursière : +50,65%
En Europe, l’indice STOXX Europe 600 a rebondi après la perte de la semaine précédente et a terminé en hausse de 3,41 %.
L’inflation de la zone euro tombe à son plus bas niveau depuis 2 ans alors que l’économie de la zone euro se contracte l’économie de la zone euro : L’IPC a ralenti à 2,9% en octobre, en baisse par rapport à 4,3% et meilleur que les 3,1% attendus. Cependant, l’IPC de base – qui exclut l’alimentation et l’énergie – recule moins rapidement. Il s’est modéré à 4,2 % en octobre, contre 4,5 % le mois précédent.
En Asie, la BoJ (Bank of Japan) est restée fidèle à sa politique monétaire ultra-libre lors de sa réunion d’octobre, laissant son taux de prêt à court terme inchangé à -0,1 %. Toutefois, la banque centrale japonaise permet désormais aux taux d’augmenter plus librement – elle considérera désormais son plafond de 1,0 % pour les taux des obligations d’État japonaises à 10 ans comme une référence, plutôt que de plafonner strictement les taux d’intérêt à cette limite supérieure.
Sources: Placements Mackenzie, Bloomberg, Barron’s, The Wall Street Journal, Reuters, FactSet, CNBC.
Les opinions exprimées dans cette infolettre sont celles de Vincent Pelle et ne reflètent pas nécessairement celles de Services en Placements Peak. Elles reposent sur des informations et ou conditions de marché qui peuvent changer sans pré-avis. Il ne s’agit en aucun temps des conseils en matière de placements. Les sources utilisées sont considérées fiables par l’auteure, mais ne sont pas garanties.
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